Cœur de forêt et Marco Vasco main dans la main au Pérou

L’association Cœur de Forêt s’évertue depuis plus de 10 ans à planter des arbres au sein de forêts primaires, dans les zones dégradées, et cela en Amérique du Sud, en Afrique ou encore en Europe.
Si la préservation de la biodiversité et la contribution à la réduction du réchauffement planétaire sont des objectifs majeurs, l’association voit encore plus loin.
C’est aussi et surtout pour permettre aux populations vivant dans la forêt de rester ancrées dans leur mode de vie traditionnel que l’association à d’ores et déjà planter 130 000 arbres dans le monde !

L’indépendance économique des autochtones est construite sur le long terme via plusieurs étapes : créations de forêts et de jardins communautaires, formation aux pratiques agro forestières durables, transformation et commercialisation des produits de la forêt par la création de filières équitables.

Conquis par l’engagement écologique et humain de Cœur de forêt, par les réponses concrètes qu’elle apporte à la nature comme aux populations, Marco Vasco s’engage sur un projet qui lui tient particulièrement à cœur : au Pérou, en pleine forêt amazonienne, pour venir en aide aux Shipibos.
Le peuple Shipibos représente la deuxième plus grande communauté de peuple primaire amazonien péruvien. Ces populations indiennes vivent de la cueillette, de l’agriculture, de la pêche, de la chasse et de l’artisanat.
Ces trente dernières années, avec l’ouverture de la route Lima-Pucallpa, la région d’Ucayali a souffert d’une accélération de l’exploitation humaine et environnementale : déforestation de bois d’œuvre et de bois précieux, monocultures, cultures sur brûlis, immigration, braconnage…
L’écosystème est très affecté et sa dégradation contribue à la paupérisation des peuples indigènes et à l’exode rural.
Les plantations d’arbres permettront donc d’une part de réhabiliter les milieux dégradés, de restaurer la biodiversité utilisée par les Shipibos pour leurs besoins vitaux et de permettre un système d’exploitation durable des ressources naturelles forestières avec la valorisation de la pharmacopée traditionnelle : huile essentielle, résine, crème, écorce et feuille desséchées, lotion…
Marco Vasco s’est d’ores et déjà engagé à financer la plantation de 750 arbres sur trois ans.